En conclusion, la lumière et couleur ont toutes les deux une influence sur les plantes ; grâce à des processus bioénergétiques tel que la photosynthèse (pour la lumière) et la photomorphogénèse (pour la couleur). Les couleurs agissent sur certains photorécepteurs :

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-Le rouge sur les phytochromes qui permettent un fort dévloppement de la plante.

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-Le bleu sur les chryptochromes et phototropines qui permettent un fort développement des tiges, elle sont alors plus longes et fines.

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-Le vert n’agit sur aucuns photorécepteurs car la plante n’absorbe pas cette couleur, c’est pourquoi comme nous l’avons vu dans l’expérience, la plante se développe très peu voire pas du tout.

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Pour le développement en agriculture la lumière bleu est nécessaire, en effet on peut observer une perte de 20% des plantations en l’absence de cette couleur. Concernant la lumière rouge, elle est très bénéfique car grâce à elle les plantes sont plus belles et abondantes et le fruit est meilleur. Malheureusement si cette couleur est absorbée lors de la période d’obscurité (heures à laquelle la plante utilise son sucre récolté dans la journée grâce à la photosynthèse), elles seront donc incapables de se développées normalement et la date de récolte sera retardée.  Le rouge est alors bénéfique pour la plante s’il est utilisé à heures fixe. Le vert ne peut pas être utilisé en horticulture car il est néfaste pour les plantes et ne leurs permet pas de se développer. La lumière du soleil (blanche) reste la meilleure source d’énergie pour les plantes et leurs développements.

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Les plantions sous lumière rouge et bleu permettent d’obtenir les plantes plus fortes et meilleurs, mais pourquoi cette technique ne s’est-elle pas démocratisée ?